À propos

L’École du terrain est une plateforme contributive portée par la Preuve par 7. Elle raconte et documente de manière non exhaustive des projets et des démarches singulières, qui ont permis, par l’expérimentation, la mise en œuvre de nouvelles manières de faire en architecture, urbanisme et paysage.

Documenter, accompagner, transmettre

« L’École du terrain » va à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent sur le terrain à de nouvelles expérimentations, questionnant les pratiques de l’architecture et de l’urbanisme, et parviennent à créer des jurisprudences. Répondant à des enjeux locaux, ces acteurs et actrices ont notamment profité de la plasticité du droit et de son pouvoir d’imagination pour dénouer des situations en inventant, chemin faisant, des dispositifs singuliers qui pourront, en retour, inspirer la loi, les politiques publiques et légitimer des pratiques de la société civile. A Roubaix ou à Billom, comment rouvrir au public un monument historique et y construire une programmation ouverte avec les usagerEs ? A Boulogne-sur-Mer ou à Bordeaux, comment dénormer le logement social en le rénovant sur mesure avec la participation de ses habitantEs ? A Beaumont, comment mobiliser la commande artistique pour construire collectivement sept logements sociaux en milieu rural ?

Nous racontons ces projets choisis qui, par leur singularité même, illustrent une méthode, une règle, une échelle ou un territoire, qui démarginalisent ces pratiques et peuvent faire école en d’autres lieux ou à d’autres échelles. Le passage par le récit est fondamental, c’est d’abord lui qui donne « le désir de voir la possibilité » (Kierkegaard). Incarné, tentant de rendre avec le plus de justice et de justesse la parole des acteurs et actrices de terrain, il permet la transmission, l’essaimage, le réseau.  

Mais, même pratique, le récit n’est pas tout et « L’Ecole du terrain » est aussi l’occasion d’ouvrir les « boîtes noires » de la fabrique de la ville par la mise à disposition, clairement expliquée, des documents techniques, juridiques, réglementaires et financiers qui ont émaillé les étapes du projet. À cela s’accompagne la diffusion des
« manières de faire » propres aux expérimentations urbaines mises en lumière.

L’équipe de « L’École du terrain » est celle de la Preuve par 7, démarche expérimentale d’urbanisme, d’architecture et de paysage co-fondée en 2018 par Patrick Bouchain et portée par l’association Notre Atelier Commun. S’inscrivant dans la lignée des expérimentations des friches culturelles, du laboratoire du Grand Ensemble et des Universités Foraines, la Preuve par 7 œuvre à mettre à l’épreuve l’esprit du
Permis de faire en accompagnant une dizaine de projets à différentes échelles.

Ces projets expérimentent les manières de faire soutenues par La Preuve par 7 : l’ancrage sur le lieu du projet par une permanence architecturale aux fins de l’occuper durablement et d’y mettre à l’épreuve les usages et les besoins par un travail de programmation ouverte, construite progressivement avec les usagers. Ainsi portés par des collectivités et par les acteurs et actrices de la société civile, ces projets expérimentent à partir du déjà-là, du patrimoine matériel et immatériel qui composent un territoire, des usage(r)s et des désirs locaux. Ils bâtissent, rénovent, réparent collectivement pour mieux travailler sur l’habitabilité de nos territoires, favoriser la mise en œuvre d’un urbanisme vivrier et faire de la fabrique de la cité un projet de société.

En s’appuyant tant sur les projets qu’elle accompagne que sur ceux qu’elle documente, la Preuve par 7 créé entre eux des liens d’entraide, des coopérations entre territoires en réunissant sur le terrain porteurs et porteuses de projets et services déconcentrés de l’Etat autour de thématiques communes.

Si la Preuve par 7 accompagne et documente des projets aux fins d’en faire émerger des jurisprudences, elle a depuis longtemps à cœur que ces manières de faire essaiment également dans le champ professionnel et académique. Le chantier, le terrain, la gouvernance collective deviennent alors des lieux d’apprentissage, des écoles d’architecture alternatives.

Au sein d’un réseau qui milite pour ces pédagogies de terrain, la Preuve par 7 travaille également à renouveler l’enseignement de l’architecture et de l’urbanisme. C’est pourquoi elle accompagne les travaux de la chaire Eff&t, de même que plusieurs promotions d’étudiantEs dans différentes écoles d’architecture et d’urbanisme, et a créé, avec la Chaire de philosophie à l’Hôpital, un programme de recherche autour de la notion du soin en architecture et en urbanisme, le « laboratoire des Délaissés ». 

Au fur et à mesure des années, la Preuve par 7 a ainsi contribué à fédérer différents acteurs et actrices sur chacun des sites de projet mais également dans le monde de l’enseignement, de la recherche et des réseaux qui partagent cette culture commune. Elle a aussi apporté la preuve, à une petite échelle, que ces manières de faire sont pertinentes et économes, qu’elles peuvent faire filière, mobiliser des dynamiques territoriales pour mieux habiter et créer des jurisprudences qui doivent aujourd’hui s’inscrire dans les pratiques, dans la recherche et dans le droit. Enfin, l’équipe de la Preuve par 7 a constaté qu’elle s’insérait elle-même dans une dynamique collective plus vaste de partenaires qui expérimentent et mettent en œuvre un urbanisme vivrier. « L’École du terrain » est l’outil contributif qui incarne ce mouvement.

La démarche de la Preuve par 7 est soutenue depuis 2018 par le ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires avec la Direction Générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN) ; le ministère de la Culture avec la Direction de l’Architecture et du Patrimoine ; la Fondation de France avec le comité Habitat et Inventer Demain et l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires avec le programme Nouveaux Lieux, Nouveaux Liens et France Tiers-Lieux.

L'article de la revue Diagonal, publiée par la DGALN, sur la Preuve par 7 en juillet 2023 et l'émission du Mag de l'aménagement, du logement et de la nature (radio Territoria) consacrée à la permanence architecturale

Contribuer

L’École du terrain est une plateforme contributive de partage des expérimentations qui élaborent de nouveaux outils techniques et juridiques. Vous pouvez nous écrire pour nous proposer un projet d’architecture, d’urbanisme ou de paysage expérimental que vous menez, qui interroge ou produit des enseignements et/ou des jurisprudences à essaimer. Mais aussi pour nous partager une recherche théorique sur ces nouvelles manières de faire, ou pour toute autre contribution.

Merci de remplir le formulaire pour votre demande

L’équipe de la Preuve par 7

Sophie Ricard
Architecte urbaniste, co-directrice
Laura Petibon
Urbaniste, co-directrice
Caroline Niémant
Secrétaire générale
Cécile Lafféta
Administratrice
Édith Hallauer
Enseignante chercheuse associée à l'École du terrain
Hugo Martin
Historien de l’art, documentaliste de terrain
Sarah Boujardine
Urbaniste chargée des laboratoires de terrain
Alexandra Ruzzica
Architecte chargée de documentation et de production graphique
Lou Jézéquel
Urbaniste

La Preuve par 7 est une démarche portée par l’association Notre Atelier Commun, dont le bureau est composé de Patrick Bouchain, architecte et Président d’honneur ; Catherine Clarisse, architecte, enseignante et Présidente ; Loïc Julienne, architecte et trésorier.

Ils et elles ont participé

Paul Citron
Urbaniste
Émilie Flamme
Urbaniste
Hee-Won Jung
Architecte urbaniste doctorante
Louna Magniez
Géographe spécialisée dans les questions de démocratie participative
Victor Moinet
Urbaniste
Louise Skouratko
Designer social en espace public
Séminaire de la Preuve par 7, les Murs à Pêches Montreuil, 2020 © Adèle Nytrai

Auteurs et autrices associées pour l'École du terrain

Sylvia Fredriksson

Gouvernances collectives
Designer, enseignante chercheure, les travaux de Sylvia Fredriksson portent sur les relations entre design, technique et politique, et mobilisent en particulier la question des communs pour réinvestir des trajectoires critiques. Elle interroge les enjeux de transformation de l’action publique et les nouvelles configurations de l’espace et des outils démocratiques (Pôle recherche Cité du design, programme Design des Instances, 2016-18 ; Maison POC Prendre Soin avec l’Agence Les Sismo, Lille Design 2020 ; Biennale internationale d’architecture de Venise 2020, Fondation AIA). Elle enseigne depuis 2020 au sein de l’unité de recherche ECOLAB de École d’Art et de Design d’Orléans.

Liliana Motta

Le laboratoire du dehors
« Mon territoire est dehors. Le dehors qu’on habite, partage, construit, fabrique, est le nôtre. Il est fait de moments ordinaires et de lieux communs, parfois dévalorisés ou déconsidérés, toujours insignifiants, mais libres. Le déclassé, le délaissé, le déprécié s’y rencontrent, disponibles, remarquables et attachants, hors-norme, hors de soi, au plus près de chacun. » Artiste-botaniste-paysagiste de nationalité argentine, Liliana Motta est née à Buenos Aires en 1959. Autodidacte. Auteure de la collection nationale de Polygonum agréée par le Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées (CCVS). De 2002 à 2007, encadrante de l’Atelier Jardinage, sous la tutelle du Département d’Écologie et du Département d’Arts Plastiques, à l’École Nationale Supérieure de Paysage de Versailles.

Benjamin Roux

Faire récit
Benjamin Roux est éditeur et associé aux éditions du commun. Il a réalisé une recherche (2012-2016) sur la place des traces et récits dans les expériences collectives. Ses réflexions se poursuivent aujourd’hui autour de la narration comme puissance d’agir dans une dialectique individu-collectif. Ses travaux et ses écrits sur les pratiques collectives et les enjeux de culture des précédents sont accessibles sur son site.

Marc Ganilsy

Le bail forain Jurisprudence
Marc Ganilsy est avocat au Barreau de Paris depuis plus de 20 ans, auteur de plusieurs articles sur les conventions intercalaires. Il a participé récemment aux guides de l’APUR sur le sujet. Praticien expérimenté de la contractualisation et du contentieux immobilier, il suit de nombreux projets, opérateurs et collectifs à Paris, en région parisienne et sur l’ensemble du territoire.

Christiane Châteauvieux • Alia El Gaied • Valérie Morel

Les coopératives d’habitantEs
Christiane Châteauvieux est présidente de la Fédération Habicoop. Alia El Gaied est accompagnatrice de projets de coopératives d’habitantEs au sein de l’association Atelier des coopératives d’habitants. Architecte de formation et maniant les outils de l’éducation populaire, elle met en place des outils pédagogiques et ludiques à destination des coopératives d’habitantEs et forme leuss futurEs accompagnateurs et accompagnatrices. Valérie Morel est accompagnatrice de projets de coopératives d’habitantEs. Après avoir travaillé au sein d’Habicoop, elle a créé son entreprise d’accompagnement visant à faciliter l’émergence des coopératives en proposant un contrat sécurisé adapté.

Elsa Buet

Faire école depuis les lieux

Elsa Buet est co-coordinatrice du diplôme universitaire Espaces Communs et membre du collectif Yes We Camp. Son parcours est imprégné d’expériences collectives et artistiques, que ce soit avec la co-création du festival Château Sonic dédié aux cultures émergentes ou encore dans son engagement auprès de l’association marseillaise Justice et Union pour la Transformation Sociale (JUST). Elle est passionnée par les processus participatifs, le décloisonnement des pratiques et des disciplines.

Arnaud Idelon

Faire école depuis les lieux

Acteur du mouvement tiers-lieux, Arnaud Idelon accompagne avec Ancoats le développement de tiers-lieux culturels en France. Il est cofondateur du tiers-lieu Le Sample à Bagnolet, co-coordonne le Diplôme Universitaire Espaces Communs à l’Université Gustave Eiffel en tandem avec Yes We Camp ainsi que l’Observatoire des Tiers-Lieux pour France Tiers-Lieux, et programme le PAM Festival, festival d’idées dédié aux tiers-lieux culturels. Il est maître de conférence associé à l’Université Paris 1.

Pascal Nicolas-Le Strat

Faire recherche en habitant 

Pascal Nicolas-Le Strat est sociologue, professeur en sciences de l’éducation à l’Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis. Il est membre du laboratoire Experice et responsable du projet Territoires en expérience(s), Campus Condorcet, La Plaine Saint-Denis. Il est l’auteur aux Éditions du commun de Le travail du commun (2016), Quand la sociologie entre dans l’action (La recherche en situation d’expérimentation sociale, artistique ou politique) (2018) et Faire recherche en commun (Chroniques d’une pratique éprouvée) (2024).

Louis Staritzky

Faire recherche en habitant 

Louis Staritzky est docteur en sociologie, chercheur associé au laboratoire Experice, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis. Depuis plusieurs années il engage son travail de recherche-action en quartier populaire avec des collectifs hybrides (habitant.es, éducateur.rices, chercheur.es, architectes, étudiant.es…). Il participe à animer la revue Agencements, Recherches et pratiques sociales en expérimentation, et le collectif des Fabriques de sociologie. Depuis quinze ans, au sein d’associations parisiennes, il enseigne aussi le vélo à des adultes débutant.es, et tente de démocratiser cette pratique au plus grand nombre. Il est l’auteur aux Éditions du commun de Pour une sociologie des tentatives. Faire monde depuis nos vies quotidiennes, 2024.

Béatrice Mariolle

Une école d’architecture ancrée dans son territoire

Béatrice Mariolle est architecte, urbaniste, docteure et HDR en architecture, professeure TPCAU à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et du Paysage de Lille, chercheuse à l’IPRAUS/UMR AUSser et chercheuse associée au LACTH, directrice scientifique de la chaire « Acclimater les territoires post-miniers ».

Mélusine Pagnier

Une école d’architecture ancrée dans son territoire 

Mélusine Pagnier est architecte HMONP (ENSAPB) et doctorante en architecture au laboratoire du LATCH (ENSAPL). Persuadée de l’urgence sociale et environnementale actuelle, elle a été salariée pendant plusieurs années au sein d’agences et d’associations d’architecture dont les pratiques se concentrent sur la participation des habitants et la frugalité de la production architecturale. À travers sa thèse, dirigée par Béatrice Mariolle et Frank Vermandel, elle interroge aujourd’hui la contribution des pratiques collaboratives face aux enjeux de rénovation énergétique du logement en France. Dans ce cadre, Mélusine Pagnier est aujourd’hui installée en « permanence architecturale » dans une cité minière du Pas-de-Calais en attente de rénovation pour co-concevoir avec les habitants une rénovation ajustée à leurs besoins et issue des ressources locales. Cette recherche est financée par le ministère de la Culture et le bailleur social Maisons & Cités.

Martin Fessard

Une école d’architecture ancrée dans son territoire

Martin Fessard est architecte HMONP, charpentier, doctorant au LACTH de l’ENSAP de Lille et au LGCGE de l’Université d’Artois, enseignant en atelier de projet à l’ENSAPL. Diplômé de l’ENSAPB, il travaille comme architecte chez Boidot Robin. Il suit ensuite un CAP charpentier chez les Compagnons, puis pratique ce métier pendant 4 ans à la coopérative le Fil à plomb (éco-rénovation), puis chez Bourgeois (restauration de monuments historiques). Il entame fin 2021 une thèse associant questions de conception architecturale et enjeux techniques des matériaux biogéosourcés dans le cadre de la rénovation des cités minières du Pas-de-calais. Il considère le rôle des finitions biogéosourcées en lien avec la transformation des pratiques de confort. Dirigée par Béatrice Mariolle, Frank Vermandel et Vincent Dubois, cette recherche est financée par la région Hauts-de-France, le ministère de la culture et le fond Qualitel.

 

Théa Manola

Enseigner l’architecture « hors les murs »

Théa Manola est architecte et urbaniste, Maîtresse de Conférences en Sciences Humaines et Sociales pour l’Architecture à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble-UGA et chercheure à l’équipe CRESSON de l’UMR AAU. Ses travaux portent sur les rapports entre sensible et politique selon plusieurs entrées : les expériences sensibles et la « critique sensible » des territoires et de leur production qu’elles révèlent ; les écologies sensibles ou la sensibilisation des enjeux socio-écologiques notamment dans les pratiques scientifiques, créatives et opérationnelles ; le sensible et sa considération/opérationnalisation dans les processus de projet. Elle travaille également sur les évolutions des pratiques professionnelles et leur considération dans les formations en architecture et urbanisme.

Roberta Ghelli

Enseigner l’architecture « hors les murs »

Roberta Ghelli est architecte, Maîtresse de Conférences Associée en Théories et Pratiques de la conception architecturale et urbaine à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble-UGA, chercheure à l’équipe CRESSON de l’UMR AAU et chargée de projets à la Maison de l’architecture de l’Isère. Depuis 2013, elle s’est spécialisée dans la médiation de l’architecture et a travaillé avec de nombreuses structures culturelles, en France et à l’étranger, pour la conception et l’animation d’actions de médiation, la création d’outils pédagogiques, la mise en forme d’expositions, l’organisation de formations et de rencontres professionnelles, nationales et internationales. Son travail de recherche s’inscrit dans la démocratisation de la culture architecturale et urbaine : les enjeux socio-éducatifs en milieu scolaire, les expériences citoyennes et participatives dans la co-construction du territoire, l’évolution du métier d’architecte et des formations en architecture et urbanisme.

Institut de recherche et d'innovation

L’économie contributive

L’Institut de recherche et d’innovation a été créé en 2006 au Centre Pompidou sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler. Son travail est d’anticiper, accompagner, et analyser les mutations des activités culturelles, scientifiques et économiques induites par les technologies numériques, et de développer de nouveaux dispositifs critiques contributifs. L’IRI s’intéresse aux enjeux internationaux et locaux, avec des projets tels que le réseau Digital Studies et des initiatives territoriales comme le Territoire Apprenant Contributif de Plaine Commune. Son programme de recherche articule les sujets de la parentalité, du soin et du numérique, du design de la contribution urbaine, de la capacitation et des savoirs. Depuis le décès de Bernard Stiegler en août 2020, l’IRI s’appuie pour la définition et la conduite de son programme de recherche sur un Collège Scientifique et Industriel et en étroite collaboration avec le Collectif Internation et l’Association Épokhè pour le développement des territoires-laboratoires de l’économie contributive.

Contributeurs acteurs et actrices des projets documentés

Tous les intervenantEs, architectes, urbanistes, éluEs, technicienNEs, associations, entreprises, opérateurs, utilisateurs et utilisatrices, etc. qui nous font part de leur récit sur le terrain ou lors d’entretiens : Agence Construire • Agence degré • Agence encore • Agence Encore Heureux • Agence Nicole Concordet • Atelier Georges • Collectif les Andains • Collectif Pixel 13 • Compagnie architecture • Association le WIP • Association l’Hôtel Pasteur • Association RER • Carton Plein • Chaire Acclimater les territoires post-miniers de l’ENSAP de Lille • Chaire Mutation des vies étudiantes de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs • Collectif etc • Collectif Zerm • Collectif Rural Combo • DU Espaces Communs • ENSA de Grenoble • Esopa Production • Festival Milatsika • Pick Up Production • Plus Petit Cirque du Monde • Renouveau Paysan • Charlotte Cauwer, designeuse • Ariane Cohin, architecte • Dominique Ducasse, artiste maçon • Jean-Jacques Etcheberry, artisan maçon • Philippe le Ferrand, psychiatre • Marc Ganilsy, avocat • Jacques Garnier, architecte • Erwan Godet, éducateur sportif • Olivier Jaspart, juriste • Liliana Motta, paysagiste • Laura Pandelle, designeuse • Michèle Raunet, notaire • Mathilde Tournyol Du Clos, architecte • Pascal Waldschmidt, ancien maire de Beaumont • Les Nouveaux Commanditaires de l’art • Aquitanis • CAUE du Finistère • EPFL du Pays Basque • Habicoop • OPHLM Habitat du littoral • SCI Bailko • SEM Normandie Aménagement • Société d’Équipement de Touraine • SNCF Immobilier • SPLA Territoires • Territoires Pionniers • Ville de Bagneux • Ville de Billom • Ville de Boulogne-sur-Mer • Ville de Chiconi • Direction des Affaires Culturelles de Mayotte • Département des Pyrénées-Atlantiques • Direction de la Culture de la Ville de Clermont-Ferrand • Ville d’Oloron Sainte-Marie • Agglomération Pau-Béarn-Pyrénées • Ville de Roubaix • Ville de Tardets-Sorholus • Ville de Tours…

Quelques plateformes et centres de ressources associés

→  Arteplan

Pour aller plus loin sur l’urbanisme culturel, plateforme portée par le POLAU – Pôle arts & urbanisme

→  Movilab

Pour aller plus loin sur les tiers-lieux

→  Architecture et précarités

Pour aller plus loin sur les questions de précarité et d’architecture

→  Habicoop

Pour aller plus loin sur l’habitat coopératif

La 27ème Région

Pour aller plus loin sur la transformation de l’action publique

L’Observatoire des Tiers-lieux

Pour enrichir et partager la connaissance sur les tiers-lieux